Posted on 22 novembre 2016 in En sourire
Le vent, c’est comme un colporteur ou un marchand d’huile d’olive
On ne sait pas forcément où il va ni pourquoi il est là, mais on se demande toujours d’où il vient
On fait toujours comme ça avec les gens qu’on ne connaît pas bien, qu’on ne connaît pas du tout ou qu’on ne voudrait pas connaître. On se fiche bien d’où ils peuvent aller et pourquoi ils y vont, et le plus vite ils fileront et le mieux ce sera. Continue reading →