Posted on 10 avril 2017 in Dormir debout
Ma main à couper que je suis un hêtre de parole, et je vais tout vous raconter.
Tout a commencé il y a un siècle dans le travers de Parry.
Le travers, c’est beaucoup dire, c’est plutôt une pente douce qui descend vers le petit ruisseau en contrebas du vallon ombragé.
D’ailleurs, si la vallée est ombragée, j’y suis pour quelque chose et je n’y fais pas que de l’ombre ; mais vous n’y voyez rien vous qui ne savez pas différencier un vallon d’une vallée, un pré d’une prairie, une source d’un ruisseau ou un bois d’une foret. Continue reading →