Champ de courses

Au pays de Gaël, lévriers et chevaux rivalisent de vitesse, les uns sur la terre battue, les autres sur l’herbe grasse des champs de courses.

Rien à perdre, rien à gagner, tout à jouer.

Les gens vont et viennent, les courses se suivent et se ressemblent.

Aujourd’hui, l’argent ne vient de nulle part et n’ira nulle part, il tournera en rond sous la pas des chevaux.

Au milieu de la foule colorée, un enfant regarde l’autre coté du manège.

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